Vertiges ordinaires
de Pierre Collin, Valère Bertrand, Musée de la Cohue, et al. Buchet-Chastel, 2007, 1 vol. (173 p.) (Les Cahiers dessinés) Basculements, vues plongeantes, ombres portées, la géométrie des gravures de Pierre Collin est troublante - voire théâtrale -, et cela dès ses débuts à la Casa Velázquez à Madrid, au début des années 1980. Sur la plaque de cuivre, son regard s'est fait photographique, fulgurant, proche d'un arrêt sur image, à l'opposé de la minutie habituelle des graveurs. Son uvre, constituée d'allers et retours entre dessin, peinture et gravure, exprime un quotidien plutôt tranquille, sans être pittoresque : une grange, une plage ou encore la vision d'un conducteur sur une autoroute monotone. Rien d'inquiétant dans l'imaginaire de Pierre Collin - mais rien de rassurant non plus. Tout n'est qu'équilibre |
Collin Pierre, Bertrand Valère, Musée de la Cohue.
Vertiges ordinaires.
Buchet-Chastel, 2007, 1 vol. (173 p.).
(Les Cahiers dessinés).
Titre : | Vertiges ordinaires |
Auteurs : | Pierre Collin, Auteur ; Valère Bertrand, Auteur ; Musée de la Cohue, Auteur ; Musée du dessin et de l'estampe originale, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Buchet-Chastel, 2007 |
Collection : | Les Cahiers dessinés, ISSN 1636-7677 |
ISBN/ISSN : | 978-2-283-02298-6 |
Format : | 1 vol. (173 p.) / nombreuses ill. en noir et en coul., couv. ill. / 28 cm |
Note générale : | Publ. à l'occasion des expositions à La Cohue, Musée de Vannes, 8 décembre 2007-24 mars 2008 et au Musée du dessin et de l'estampe originale de Gravelines, 27 avril-15 juin 2008 |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 709.2 |
Résumé : | Basculements, vues plongeantes, ombres portées, la géométrie des gravures de Pierre Collin est troublante - voire théâtrale -, et cela dès ses débuts à la Casa Velázquez à Madrid, au début des années 1980. Sur la plaque de cuivre, son regard s'est fait photographique, fulgurant, proche d'un arrêt sur image, à l'opposé de la minutie habituelle des graveurs. Son uvre, constituée d'allers et retours entre dessin, peinture et gravure, exprime un quotidien plutôt tranquille, sans être pittoresque : une grange, une plage ou encore la vision d'un conducteur sur une autoroute monotone. Rien d'inquiétant dans l'imaginaire de Pierre Collin - mais rien de rassurant non plus. Tout n'est qu'équilibre |