Ses électeurs seraient autour de 25%. Au fait, c'est qui le quart Macron ?
de Hadrien Mathoux, Louis Haushalter In Marianne, 1301 (17/02/2022), p. 8-19 Cadres, retraités aisés, ils forment les indéfectibles bataillons rangés derrière le chef de l'Etat. Une France qui se porte bien et qui ne veut pas voir celle qui se sent méprisée depuis cinq ans. Bienvenue dans la France qui "va bien". En 2017, lors de la présidentielle, les Niortais avaient placé Emmanuel Macron largement en tête du premier tour, avec 31,96 des suffrages exprimés. Cinq ans plus tard, la ville, centriste dans l'âme, baignée d'insouciance et d'optimisme, semble bien décidée à récidiver. - La sécurité mutualiste - Indulgents et satisfaits - Sans souci d'argent. L'antimacronisme dans le sillage des "convois". Des antivax et des complotistes ? Bien sûr il y en avait parmi les manifestants. Mais c'est oublier, un peu vite ceux, nombreux, qui ont applaudi et parfois soutenu matériellement les "convois de la liberté". Preuve qu'il existe, bien que le mouvement n'ait pas pris, une profonde détestation de Macron dans le pays. - "On a trop subi !" - "On n'en peux plus" Et pourtant, Macron veut effacer... Macron. le président du "quoi qu'il en coûte", des plans d'investissements et des nouvelles centrales nucléaires cherche à faire oublier celui qui encourageait la cession d'actifs stratégiques ou se plaignait du "pognon de dingue" des aides sociales. les Français seront-ils dupes ? |
Mathoux Hadrien, Haushalter Louis.
« Ses électeurs seraient autour de 25%. Au fait, c'est qui le quart Macron ? »
in Marianne, 1301 (17/02/2022), p. 8-19.
Titre : | Ses électeurs seraient autour de 25%. Au fait, c'est qui le quart Macron ? (2022) |
Auteurs : | Hadrien Mathoux, Auteur ; Louis Haushalter, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Marianne (1301, 17/02/2022) |
Article : | p. 8-19 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | campagne électorale / électeur / élection présidentielle / France / macronisme |
Résumé : |
Cadres, retraités aisés, ils forment les indéfectibles bataillons rangés derrière le chef de l'Etat. Une France qui se porte bien et qui ne veut pas voir celle qui se sent méprisée depuis cinq ans.
Bienvenue dans la France qui "va bien". En 2017, lors de la présidentielle, les Niortais avaient placé Emmanuel Macron largement en tête du premier tour, avec 31,96 des suffrages exprimés. Cinq ans plus tard, la ville, centriste dans l'âme, baignée d'insouciance et d'optimisme, semble bien décidée à récidiver. - La sécurité mutualiste - Indulgents et satisfaits - Sans souci d'argent. L'antimacronisme dans le sillage des "convois". Des antivax et des complotistes ? Bien sûr il y en avait parmi les manifestants. Mais c'est oublier, un peu vite ceux, nombreux, qui ont applaudi et parfois soutenu matériellement les "convois de la liberté". Preuve qu'il existe, bien que le mouvement n'ait pas pris, une profonde détestation de Macron dans le pays. - "On a trop subi !" - "On n'en peux plus" Et pourtant, Macron veut effacer... Macron. le président du "quoi qu'il en coûte", des plans d'investissements et des nouvelles centrales nucléaires cherche à faire oublier celui qui encourageait la cession d'actifs stratégiques ou se plaignait du "pognon de dingue" des aides sociales. les Français seront-ils dupes ? |
Nature du document : | documentaire |
genre : | Article de périodique |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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Archives | périodique | CDI | 034173 | Disponible |