Retraites. Non, ce n'est pas encore plié
de Soazig Quéméner, Gérald Andrieu In Marianne, 1351 (02/02/2023), p. 8-17 Contre le projet du gouvernement, les syndicats se mobilisent. Les Français, majoritairement nonistes, font bloc. Tous bords politiques et tous âges confondus. Retour au bon vieux temps de la lutte sociale. Pourquoi Macron peut battre en retraite. Pas négociable, le report à 64 ans et l'allongement de la durée de travail ? A voir, tant l'opposition au projet Macron-Borne fédère des syndicats autrefois divisés, des catégories sociales disparates et des politiques de tous bords. - Parce que la rue ne désemplit pas - Parce que les syndicats restent unis - Parce que les députés n'ont plus le petit doigt sur la couture du pantalon - Parce qu'il y a un risque juridique - Parce que les femmes y perdent beaucoup. Premières et deuxièmes lignes : l'heure de la revanche ? Dans une longue note à laquelle "Marianne" a eu accès avant publication, la Fondation Jean Jaurès se port sur le sort de ces travailleurs qui se sont révélés essentiels lors de la pandémie. Viendront-ils grossir les ranges des anti-réforme des retraites ? |
Quéméner Soazig, Andrieu Gérald.
« Retraites. Non, ce n'est pas encore plié »
in Marianne, 1351 (02/02/2023), p. 8-17.
Titre : | Retraites. Non, ce n'est pas encore plié (2023) |
Auteurs : | Soazig Quéméner, Auteur ; Gérald Andrieu, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Marianne (1351, 02/02/2023) |
Article : | p. 8-17 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | contestation / France / gouvernement / réforme des retraites / retraite / revendication sociale / syndicat |
Résumé : |
Contre le projet du gouvernement, les syndicats se mobilisent. Les Français, majoritairement nonistes, font bloc. Tous bords politiques et tous âges confondus.
Retour au bon vieux temps de la lutte sociale. Pourquoi Macron peut battre en retraite. Pas négociable, le report à 64 ans et l'allongement de la durée de travail ? A voir, tant l'opposition au projet Macron-Borne fédère des syndicats autrefois divisés, des catégories sociales disparates et des politiques de tous bords. - Parce que la rue ne désemplit pas - Parce que les syndicats restent unis - Parce que les députés n'ont plus le petit doigt sur la couture du pantalon - Parce qu'il y a un risque juridique - Parce que les femmes y perdent beaucoup. Premières et deuxièmes lignes : l'heure de la revanche ? Dans une longue note à laquelle "Marianne" a eu accès avant publication, la Fondation Jean Jaurès se port sur le sort de ces travailleurs qui se sont révélés essentiels lors de la pandémie. Viendront-ils grossir les ranges des anti-réforme des retraites ? |
Nature du document : | documentaire |
genre : | Article de périodique |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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Archives | périodique | CDI | 037577 | Disponible |