Portraits de société : XIXè-XXè siècles
de Gabriel Badea-Paün Citadelles & Mazenod, 2007, 223 p Un "bon portrait" vaut une "biographie dramatisée", écrivait Charles Baudelaire dans une chronique du salon de 1859. N'est-il pas en effet, à travers l'image d'une individualité, le reflet des certitudes et interrogations humaines ? Au XIXè siècle, peintres et modèles considèrent le portrait comme la marque d'un certain statut social. A partir du milieu du siècle, princes, aristocrates, financiers et industriels, qui forment la clientèle traditionnelle des portraitistes, voient leurs rangs grossis par les membres de la bourgeoisie et des cercles artistiques, acteurs et semi-mondaines. Dans un monde cosmopolite, les peintres de portraits sont choisis par leurs commanditaires pour leur style, leur personnalité et leur réputation. L'ouvrage présente pour la première fois une somptueuse galerie de portraits, allant du début du XIXè siècle aux années 1950. Effigies fameuses ou moins familières, elles reflètent l'esprit de leur époque et la société dont elles sont issues avec une réelle acuité. De David à Warhol, en passant par Ingres, Winterhalter, Whistler, Sargent, Boldini, Helleu ou Lempicka, ces portraits de société permettent de pénétrer au coeur de la personnalité de chaque artiste et de ses commanditaires. |
Badea-Paün Gabriel.
Portraits de société : XIXè-XXè siècles.
Citadelles & Mazenod, 2007, 223 p.
Titre : | Portraits de société : XIXè-XXè siècles |
Auteurs : | Gabriel Badea-Paün, Auteur ; Richard Ormond, Préfacier, etc. |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Citadelles & Mazenod, 2007 |
ISBN/ISSN : | 978-2-85088-246-3 |
Format : | 223 p |
Langues: | Français |
Descripteurs : | 19e siècle / 20e siècle / art / artiste / impressionnisme / peintre / peinture / portrait / réalisme / société |
Résumé : |
Un "bon portrait" vaut une "biographie dramatisée", écrivait Charles Baudelaire dans une chronique du salon de 1859.
N'est-il pas en effet, à travers l'image d'une individualité, le reflet des certitudes et interrogations humaines ? Au XIXè siècle, peintres et modèles considèrent le portrait comme la marque d'un certain statut social. A partir du milieu du siècle, princes, aristocrates, financiers et industriels, qui forment la clientèle traditionnelle des portraitistes, voient leurs rangs grossis par les membres de la bourgeoisie et des cercles artistiques, acteurs et semi-mondaines. Dans un monde cosmopolite, les peintres de portraits sont choisis par leurs commanditaires pour leur style, leur personnalité et leur réputation. L'ouvrage présente pour la première fois une somptueuse galerie de portraits, allant du début du XIXè siècle aux années 1950. Effigies fameuses ou moins familières, elles reflètent l'esprit de leur époque et la société dont elles sont issues avec une réelle acuité. De David à Warhol, en passant par Ingres, Winterhalter, Whistler, Sargent, Boldini, Helleu ou Lempicka, ces portraits de société permettent de pénétrer au coeur de la personnalité de chaque artiste et de ses commanditaires. |
Nature du document : | documentaire |
Niveau : | LYC |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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75 BAD | documentaire | CDI | 010601 | Disponible |