Franz Stangl et moi
de Dominique Sigaud Stock, 2011, 219 p "Au début il y aurait eu cet homme, Franz Stangl, né en Autriche en mars 1908, bon professionnel de la police autrichienne, embauché par l'Histoire dans la Gestapo, rapidement monté en grade, d'abord surintendant, puis lieutenant à l'hopital du programme T4 d'extermination, puis commandant de Sobibor et de Treblinka en 1942. Sa dernière promotion. De là, l'Italie, la défaite, la fuite, le faux nom et l'installation au Brésil. De longues et belles années jusqu'à l'arrestation en 1967, l'extradition en Allemagne, le procès, la condamnation à perpétuité, puis l'appel. Au début du récit, il y aurait pourtant cette phrase prononcée la veille de sa mort, "je n'ai plus d'espoir", presque une phrase finale, précédée d'un " à présent j'ai tout dit pour la première fois", le différenciant cette fois radicalement des autres responsables et qui entamerait la dernière période de son existence, environ vingt-quatre heures, l'engageant de façon inattendue dans une voie presque contraire à ce qu'il avait vécu jusque-là. D'où mon attrait peut-être, le désir d'en savoir plus. |
Sigaud Dominique.
Franz Stangl et moi.
Stock, 2011, 219 p.
Titre : | Franz Stangl et moi |
Auteurs : | Dominique Sigaud, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Stock, 2011 |
ISBN/ISSN : | 978-2-234-07009-7 |
Format : | 219 p |
Note générale : | roman sur l'Allemagne |
Langues: | Français |
Langues originales: | Allemand |
Descripteurs : | Allemagne / déportation |
Mots-clés: | Sobibor / Treblinka |
Résumé : |
"Au début il y aurait eu cet homme, Franz Stangl, né en Autriche en mars 1908, bon professionnel de la police autrichienne, embauché par l'Histoire dans la Gestapo, rapidement monté en grade, d'abord surintendant, puis lieutenant à l'hopital du programme T4 d'extermination, puis commandant de Sobibor et de Treblinka en 1942. Sa dernière promotion.
De là, l'Italie, la défaite, la fuite, le faux nom et l'installation au Brésil. De longues et belles années jusqu'à l'arrestation en 1967, l'extradition en Allemagne, le procès, la condamnation à perpétuité, puis l'appel. Au début du récit, il y aurait pourtant cette phrase prononcée la veille de sa mort, "je n'ai plus d'espoir", presque une phrase finale, précédée d'un " à présent j'ai tout dit pour la première fois", le différenciant cette fois radicalement des autres responsables et qui entamerait la dernière période de son existence, environ vingt-quatre heures, l'engageant de façon inattendue dans une voie presque contraire à ce qu'il avait vécu jusque-là. D'où mon attrait peut-être, le désir d'en savoir plus. |
Thème de fiction : | guerre |
Nature du document : | fiction |
genre : | roman |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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R SIG | fiction | CDI | 014126 | Disponible |